Une respiration ? Pour les besoins de l’industrie, les hommes ont dégagé le petit plateau d’Assailly. Quand l’espace a commencé à manquer, ils se sont attaqués à la montagne, ont rasé des collines. La mine profita des rares espaces résiduels pour s’implanter et extraire le précieux minerai. Pour expédier la production, ils creusèrent d’abord le canal, ponctuant le Gier de nombreuses écluses. La nature s’est retrouvée peu à peu reléguée à un rang second, dernière préoccupation du ‘progrès’. |
Cependant, sur les flancs des coteaux, juste entre la halle de Mavilor et le nouveau bourg, les jardins ouvriers sont toujours exploités et entretenus. |